D’une extrême discrétion en matière de vie privée, le métapoliticien Daniel Conversano n’est pas du genre à étaler son cœur et sa chaumière sur la place publique.
Fondateur du projet « bâtir un foyer », il prône le sauvetage civilisationnel de l’Europe par la fondation de familles ethniquement blanches.
C’est donc tout naturellement qu’il a franchi ce Rubicon en donnant naissance à deux beaux enfants, qui ressemblent, il faut le dire, un peu à leur papa.
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Son épouse, de nationalité roumaine, a probablement joué un rôle essentiel dans ce sacerdoce de bâtisseur.
Préférant l’ombre à la lumière, elle n’a pas souhaité, pour le moment, s’afficher publiquement avec son illustre mari d’origine italienne.
Nous respecterons donc son anonymat.
Régulièrement, l’auteur de Désolé Jean-Pierre lui rend hommage dans ses vidéos YouTube.
Ce qui conduit, chaque mois, des milliers de « Conversanophiles » à enquêter un peu sur le parcours de cette dernière.
Eh bien c'est une connasse.
A Cannes, Zemmour a fait un amalgame entre "Roumains" et Tziganes, ma femme est roumaine, ça ne va pas m'empêcher de voter pour lui.
Pour mettre le féminisme devant la problématique migratoire dans l'échelle des priorités, il faut être une connasse.
— Daniel Conversano (@D_Conversano) January 24, 2022Visiblement pas rebutée par le Zemmourisme au cours de la campagne présidentielle de 2022, si l’on en croit ce Tweet datant du 24 janvier, elle ne semble pas être aux antipodes des opinions de son compagnon.
On peut donc imaginer qu’elle est autant « Conversanienne » que la plupart des membres de la communauté des Braves.
Du moins, on n’imagine qu’elle n’a jamais punaisé un portrait de Jean-Luc Mélenchon au-dessus du lit conjugal…
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Une conjugalité exemplaire qui sert de boussole morale à de nombreux droitards qui cherchent à devenir des pater familias.
Et comme la construction d’un foyer blanc est une entreprise qui se mène à deux, il faut donc trouver celle qui acceptera de supporter neuf longs mois de gestation.
D’où l’intérêt d’aller faire ses emplettes à l’est.
La femme ouest-européenne étant rongée par le chancre du féminisme exacerbé, c’est dans les pays « préservés » qu’il faut trouver le grand amour.
Un message qui sonne comme une prophétie à l’heure où de nombreux jeunes hommes sont enlisés dans les marécages du célibat involontaire.
Les Simps sont le cancer de notre milieu.
Faites-vous un budget "putes" par an et arrêtez de faire monter les côtes des meufs, tout est de votre faute.
Comme il y a des bulles immobilières, il y a une bulle autour de la femme occidentale.
Le sexe, c'est pas grand chose, vraiment. https://t.co/KvpgQGcjol
Assignés à résidence économique et sexuelle, certains voient en lui un prophète des temps post-modernes.
Homme à femmes décomplexé, il prend plaisir à inviter sur sa chaîne des influenceuses starifiées du « Milieu ».
Des trophées symboliques qui font jalouser la petite horde droitarde de mal-baisés qui rêveraient probablement de poser leurs petits doigts potelés sur les cuisses bronzées de ces créatures piédestalisées.
On leur souhaite donc de croiser sur leur chemin une petite « Madame Conversana ».
Qu’elle soit Roumaine, Ukrainienne, Lituanienne, Géorgienne, Estonienne ou bien Russienne…
Qu’importe la slavette pourvu qu’on bâtisse un foyer BLANC.
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